Les réactions s’intensifient au sujet du rapport du FMI qui préconise une ponction de l’épargne des français de l’ordre de 10 % pour revenir au niveau du ratio de dette/PIB de 2007.
En parallèle, dans le cadre du Projet de loi de Finances rectificative, la Commission des Finances se prépare à réduire les avantages fiscaux liés au placement favori des français, le contrat d’assurance vie.
Un exercice périlleux car difficile de négliger la contribution des fonds euro au financement de la dette de l’Etat.