La financiarisation du Marché de l’Art se développe rapidement à l’échelle mondiale entrainant avec lui des comportements spéculatifs et éphémères.
Le bilan 2016 proposé par ArtPrice, dessine de façon précise les dernières tendances et les différentes facettes de ces évolutions.
Les comportements moutonniers, l’opportunité fiscale, la recherche de diversification, apparaissent comme des turbulences négligeables face aux maitres du secteur.
Toute ressemblance avec un environnement économique et financier versatile ne saurait être que fortuite.